La bete arrive...

En ce jour noir du 03 avril 2014, une camionnette Blanche se gare devant la porte de l'institut. Le chauffeur sort de la voiture par la porte coter conducteur. Le passager descend aussi de la voiture, ainsi que 4 personne par la porte de derrière. Chacun d'eux tiens une chaîne, relier a l’intérieur de la camionnette. Le conducteur sort une télécommande de sa veste, et un haillon sort de la camionnette avec une cage dessus. Les 4 gardes descendus se trouve maintenant a chaque coin de la cage, et le conducteur range la Télécommande dans sa poche. Le passager sort un Dossier d'un épaisseur équivalente à la bible version intégrale, avec une mention en rouge tamponnée dessus, "ATTENTION ÉLÉMENT DANGEREUX". Le conducteur fais un signe et la cage s'ouvre. Les chaines se tendent... Bougent... Remuent... Des cris sortent de la cage... Ils ne sont pas humains... Ses cris semblent venir d'un animal enragé...

Puis L'animal en sort... Un homme... Gigantesque... Il porte un camisole en cuir et acier, une cage lui enferme la tête et l’empêche d'ouvrir la bouche, et empêche également tout objet de pouvoir y accéder.

Le passager avec le dossier dans les mains pris la parole une fois que l'homme fut sortit de la cage :

"-Il faut le conduire au bureau du directeur et VITE ! Plus tôt il y sera, plus vite nous seront débarasser de cet animal!!! ALLEZ ALLEZ ON SE GROUILLE

Les 4 gardiens tennaient les chaînes fermement. Il passèrent le hall d'entrée, précédé par le passager au dossier.

Bonjour mademoiselle, Nous avons un "Colis" pour Monsieur Luciferus.

La secrétaire, sans lever les yeux de son écran, Leva le doigt et indicat une porte.

C'est là messieurs.

Le bras de la secrétaire retomba sur le clavier sans d'autre mot.

Les 5 hommes (le chauffeur étant rester dehors) Passèrent la porte et se rendirent devant le bureau. Un fois a l'interieur, il furent surpris par le calme qu'éxaltait cette pièce. Les 4 chaines furent fixées au sol, a l'aide des anneaux de fers qui se trouvaient là, et l'homme au dossier prit la parole.

Bonjour mr Luciferus, nous vous laissons monsieur Trotsky comme convenu. La seule règle qu'il faut suivre, c'est de ne jamais le libéré de ses étreintes. Voilà la clé, Bonne chance Monsieur.

Il jeta le dossier sur la table, et ils sortirent tous du bureau en 4eme vitesse.

Bonjour monsieur... Luciferus... Vous etes...mon nouveau...Directeur ?

Ruberio avait les yeux couvert... Mais on pouvais deviner son regard perssant a travers se bandeau de cuir, mouler a chaud sur son visage, et qui n'irait qu'a lui.

Depuis une semaine, le directeur de l'Institut Psychiatrique Lucyferus, Faust, était tout excité. Pendant une semaine, il avait torturé comme un forcené ses patients. Il avait même attiré un fou dans l'une des salles de tortures, au sous-sol, et l'a tellement malmené, et torturé que celui-ci était "presque" mort... Au final, il l'avait enfermé dans une cage pour chien, et allait le laisser mourir à l'intérieur. Puis, il était sorti, et avait fermé la porte de la salle à clé. C'était la seule salle du sous-sol ou il y avait une serrure. Il s'agissait de SA salle de torture personnelle. De plus, seul lui, pouvait de temps en temps, faire "disparaître" un ou deux patients par an. Mais ça, personne ne le savait, peut-être qu'ils s'en doutait, mais chut.. Faust savait cacher et effacer les traces de son passage.

D'ailleurs, revenons à nos moutons. Pourquoi le directeur fou était-il aussi excité? Car un nouveau patient, extrêmement dangereux allait être transféré chez lui. Dans son coffre à jouet. Il avait tellement hâte de voir à quoi il ressemblait, d'entendre sa voix, de l'observer tel un rat dans un labyrinthe de fromage..

Voici donc le moment venu... Le 3 avril... Il avait personnellement veillé au ménage de son bureau et avait nettoyé toutes ses jolies poupées de résine.. Il avait aussi fait poser 4 anneaux en métal au sol comme le directeur de l'autre asile lui avait conseillé.

Son bureau était calme, un feu brulait dans l'âtre derrière lui. Soudain, après avoir frappé, cinq personnes entrèrent, l'une abattit l'énorme dossier sur son bureau. Un sourire sadique aux lèvres, il ouvrit le dossier pour le lire avec le plus grand soin. Au bout d'un moment, il se mit à se lécher sa lèvre supérieur. Il lu simplement l'essentiel, ce qui l'avait aguichait déjà beaucoup, il voulait jouer avec sa nouvelle poupée maintenant. Les gardiens partis, il se leva, vint près de lui, et retira délicatement le bandeau de cuir des yeux de l'homme. Ses yeux émeraudes brillaient de sadisme, ses cheveux rouge flamboyaient.. Son tatouage qui faisait le tour de son cou et de sa nuque, en forme de ronce était à sa vue, car sa chemise était ouverte.

- En effet.. Je suis votre nouveau "responsable".. Monsieur Ruberio.. Et vous êtes.. Mon nouveau jouet.. Voyez autour de vous.. Vous faites dès à présent parti de ma collection.. Et ma fois.. Vous êtes une pièce rare.. Que je vais garder précieusement..

Il n'en revenait pas... La lumière... il revoyait enfin la lumière.

"-Mec... Mec... MEC!!! LA Lumière!!!! C'est la lumière !!!! MEC LA LUMIERE EST REVENUE !!!!

Dan se mis a crier dans la tête de Ruberio. Il baissa le menton et dit a Dan, mais dans sa tête
La ferme sombre burne... Tu as entendu se qu'il a dit? On est son jouet... Tu entend ? Il veut... JOUER !!!

Puis il releva la tête et regarda Luciferus droit dans les yeux. Son regard, même sans un sourire aurait fait peur au plus grand des psychotiques. Mais pas Faust... Son regard était pétillant... Et Cela énervait encore plus Ruberio...

Alors comme ça je suis un jouet ? Vous en ETES SURE ??!!! VOUS VOULEZ VRAIMENT QUE JE DEVIENNE VOTRE JOUET ?!?

Ruberio qui était a genoux, dû au fait que ses chaines étaient juste assez courtes pour ne pas que la station debout soit agréable, Se releva sans peine et se mis debout face au directeur. Il hurlait, vociférait a tout va se jetant a droite puis a gauche, pour revenir a droite. Puis au bout de quelque secondes, il revint a sa position droite, et regarda a nouveau le directeur dans les yeux.
Il poussa sur ses genoux, suffisamment fort pour entendre un léger mais audible "Crak" provenant d'un des crochets fixé au sol. Ah se son, il arrêta tout effort.

"-Allez allez ALLEZ CONTINU MON GRAND TU VA LES AVOIRS CES SALOPERIES DE CROCHETS !!!!! DÉFONCE LE A COUP DE CASQUE !!!! ALLEZ ALLEZ ALLEZ !!!!

"-DAN FERME LA !!! Quand a vous...Vous me preniez pour un jouet... Et bien maintenant nous allons jouer... d'après vous, ces chaines seront-elle assez forte pour m’empêcher de venir vous fracasser la gueule a coup de crâne ? J'ouvre les paris...

Ruberio s'était remit a genoux, mais ne lâchait pas le directeur des yeux. Attendant de voir la réaction de ce "Responsable'" comme il s'était appeler.

Le directeur était toujours en face de son nouveau pantin. Toujours le sourire aux lèvres. Il tenait dans ses mains le bandeau de cuir. Celui-ci était assez large. Il leva la tête pour voir le grand gallard. Oui, Faust était "petit" comparait à Ruberio. Qui mesurait 2 mètre 14. Autant dire qu'il était un géant. Mais heureusement pour lui, l'Institut avait de très haut plafond. Oh tient, apparemment il avait "énervé" son nouveau patient. Et bien.. Voila qui était bien amusant. Intérieurement Faust jubilait. Il ne bougea pas d'un pouce quand le "grand monsieur" essayait de faire bouger les chaînes. Un des anneaux craqua. Hmm.. Il était entrain de se casser. Mais il ne bougea tout de même pas d'un pouce.

Il finit par se reculer en riant doucement. Dans un rire de gorge. Se dirigeant juste derrière son bureau. Il ouvrit un tiroir et en sorti un petit plateau en métal avec pas moins de cinq énorme flacons de médicaments. Et de plusieurs seringues.

- Les chaînes ne seront pas assez solides, en effet. Mais si vous tentez encore de forcer, je peux très bien vous calmer avec ceci.. Calmant.. Paralysant.. Mais soyons courtois voulez vous.. Et puis les chaînes, ça se remplacent.. Sachez une chose.. Quand j'ai dit, que vous êtes mon jouer.. Vous l'êtes, et je vais simplement, observer vos réactions et non "jouer" réellement avec vous, comme je le ferais avec ma cousine par exemple.. Je veux juste vous observer.. Alors, assez d'avoir une vie "calme", ici, pour ne pas que j'intervienne plus que je ne dois.. Seule consigne.. Essayez de ne pas tuer.. Enfin.. Surtout Yggy'.. Huhu..

Il finit par se rasseoir sur son fauteuil, rangeant le plateau dans son tiroir d'origine.

- Racontez-moi donc vos exploits! J'aimerais les entendre.. Etait-ce vous ou "Dan" le meurtrier? Ou les deux?

Il semblait aussi excité qu'un petit enfant.

Ruberio le regarda dans les yeux... Il n'en revenait pas... Se mec... Il le regardait comme si rien ne pouvait l'attendre. Ca avait le don de l'énerver... Mais il voulait voir se que ce mec avait derriere le crane...

"-vous permettez que je m'installe ?

Il tendi le ieds vers un des deux fauteils, le passa par dessus et le tira jusqu'a lui. Malgrès tout le fer et le cuir, il avait réussi a se faufiller par dessus le fauteuil. Il s'assit avec toute la lourdeur que son attirail lui faisait peser sur les épaules.

Dan prit la parole dans le crane de ruberio

"-Mec... Tu va pas lui raconter quand même.. un dit??? un un un un ??"

"- Ta gueule Dan je t'ai dit. Quand a vous vous voulez mon histoire, ouvrez votre livre a la page Biographie vous verez tout se qu'il y a savoir sur moi. Et sinon vous ? je ne connais pas votre histoire... Mais au pire je m'en fou... Alors s'il vous plait, passons la courtoisie et conduisez moi a ma chambre suspendu.. J'ai sommeil.

Il prit appuis sur le sol, arracha les 3 chaines restantes, et se dirigeat vers la porte. La il enfonça la porte du bureau, et se osa contre le mur en face de la porte.
La dite porte était maintenant sur le sol. Cassée en son milieu et pliée en deux.
Imaginez la tête de la secrétaire en voyant un truc de 2m sortir d'un bureau sans ouvrir la porte ?!? lui était maintenant appuyer contre le mur d'en face.

"-je ne vous crérais pas d'autres probleme. Je veux juste dormir maintenant.

Il regardait Lucyferus Droit dans les yeux... son regard était vide... Il était comme mort de l'interieur...

Mec... Tu va pas le laisser t'enfermer... Un ? Dit moi serieusement.... tu va le laisser nous enfermer ? Oh Réagis !!![ /color]

"-Si, je suis fatigué. Je te rappel qu'il nous on piquer dans la camionnette. On est sencé être sous sédatif là. Alors on est encore éveiller parce que je suis un titan... Mais faudrais pas non plus me prendre pour dieu le père. Alors on dors et on verras apres."

» Le journal de la bete.
» Quand le chien arrive a sa destination et rencontre son nouveau maître. [Faust]