Entretien avec le directeur.[Faust]

Enfin arrivé à son futur travail, elle devait d'abord rencontrer le directeur d'établissement. Elle avait hâte de voir le manipulateur et marionnetiste que tout le monde craint. Les questions était jusqu’où elle aurait le droit d'aller parc que si elle avait carte blanche elle pourrait bien s'amuser dans cette Etablissement. La voilà maintenant devant le bureau de monsieur Lucyferus, elle appréhendait un peu la rencontre mais ça pourrait être très marrant quand elle y pense. Avoir plein de poupée avec lesquelles jouée l'excitée grandement, enfin c'est ce qu'elle penser qui se passerais. Elle hésitait à frapper à cette porte ses antécédent de folie devait être dans son dossier peut être il ne la prendrais jamais avec lui. En même temps une personne capable d'arracher la peau de quelqu'un juste parce qu'il avait toucher sa peluche était pas vraiment jolie.Elle soufflait tant pis maintenant qu'elle était là c'était trop tard, autant y aller, Petra toquait finalement à cette porte qui s'ouvrait toute seule, on dirait qui a des fantome par ici. C'était excitant si tout ça pouvait être vrai. L'infirmière entra dans le bureau.

-Bonjour, je suis petra je viens pour le job.

Faust était, comme à son habitude dans son bureau, il y faisait très chaud, comparé au reste de l'établissement. Ayant allumé un grand feu derrière son bureau. Avec une tasse de café près de lui, et un cendrier remplit de cendres. Trois odeurs flottaient dans la pièce. Feu de bois, cerise et café. Il était bien installé sur son fauteuil, lisant un dossier vraiment énorme...! Mais celui-ci était très intéressant. Vraiment. Il lisait les pages attentivement. Chaque phrase lui plaisait. De plus en plus. Il regardait l'heure tout les cinq minutes. Car la chère Petra ne devait pas tarder. Soudain, on toqua à sa porte. Il intima la personne d'entrée. Et qu'elle fut sa joie quand il vit entrer la jeune femme du dossier. Il le ferma, et joignit ses mains, les coudes sur son bureau, un sourire sadique aux lèvres.

- Bonjour Mademoiselle Boltlovski.. Je suis Faust Lucyferus. Le directeur. Votre tenue est tout à fait appropriée pour votre travail; j'aime cela... Venez donc vous asseoir. Avant toute chose, avez-vous des questions?

Sa tenue d'infirmière rose était sublime. Le directeur de son ancien asile n'avait pas menti dans sa lettre.

Petra était entrée et voyait maintenant le directeur ses cheveux roux et son charisme était fort plaisant. Quand on le voit comme ça on dirait pas qu'il est méchant ni sadique comme quoi les apparence sont trompeuse. L'infirmière vint s'asseoir sur a chaise comme lui avait demander le directeur. Elle vit un dossier sous les bras de celui ci certainement son dossier. Il semblait pas choquer sur son visage c'était rare en tout les cas. Il lui avait demandait gentiment si Petra avait des question, elle en avait certes très déplacer mais au combien importante à ses yeux.

-Enchantée Monsieur Lucyferus. J'ai une question, quel est la limite il y a t'il ici vis à vis des patients. Je connais un peu cette établissement au vu de ses bon résultat et des rumeurs sur les méthodes très intéressante.

Ceci était fait au moins elle sera fixer comment elle aller pouvoir torturer les patients, si on l'écouter elle en ferait ses esclaves ou poupée permanente. après tout elle n'aime pas tuer ses petite chose, les faire souffrir à vie était plus marrant à ses yeux. Elle regarder le directeur avec un petit sourire attendant sa réponse, elle se fichait des horaires et tout le tralala, t'en qu'elle pouvais jouer avec des patients.

Faust était très content. La jeune femme qu'il avait en face de lui était bien belle. Une lueur démoniaque brillait dans ces yeux, autant que dans les siens. Sa tenue était un uniforme d'infirmière des années 1900, de couleur rose, surmonté du tablier qui allait avec. Il l'apprécié grandement déjà. Elle avait l'allure d'une tortionnaire. Il adorait ça! Elle vint alors s'asseoir sur un des deux sièges en face de lui. Il avait lu attentivement son dossier médical. Hihi.. Une folle en guise d'infirmière. Il n'y avait jamais penser. Cela le peinait que ce genre d'idée n'ait jamais traversée son esprit tordu. Il souriait sadiquement depuis qu'elle était entrée dans la pièce.

- Huhu.. Votre façon de penser me plait Mademoiselle Petra.. Les limites?.. Il n'y en qu'une seule.. Ne pas tuer.. Il faut que les patients meurt d'eux-même, par les blessures infligées. Bien sur, si vous le vidé de ses entrailles, cela sera de votre faute, et vous serez sanctionnée par moi-même.. Il ne faudrait pas que l'Etat se mêle de nos affaires.. N'est-ce pas?..

Petra avait adorait la réponse du directeur c'est le type de chose qu'elle attendez. Un sourire sadique c'était dessiner sur son visage, elle allait pouvoir jouer autant qu'elle veux enfin. Ce Faust était vraiment la chose qu'elle attendez le plus dans sa vie, aucune limite à sa folie que de bonheur. L'état n'en serais jamais rien Petra détester casser ses jouet, par contre les abîmés ça elle adorer vraiment. Petra voulait embrasser le directeur pour cette nouvelle, et puis il était très beau il ne faut pas le nier, elle ne cracherais pas dessus si il lui demandait d'aller dans son lit. Petra se secouer là tete bien qu'elle était en extase et en riait même légèrement avec un coté très sadique avant que son regard replonge dans celui de faust lui prenant son menton.

-Vous savez tuer n'est pas quelque chose que j'aime je prefere les voir souffrir eternellement, je n'aime pas qu'on touche à mes poupée. Elle sont mon bonheur à chaque instant, alors j'en prendrais grand soin à ma maniere. Oh et je dois vous dire que vous êtes très beau, votre tête m'inspire vraiment je vous aime déjà.

Petra était toujours du genre direct en même temps les paroles du directeur lui avaient donner du bonheur, elle entrait dans son paradis ici. Elle allait pouvoir réaliser des fantasme de torture et des envies qu'elle a depuis toute petite ici sans que personne l’arrête. Elle en perdait limite la tête de cette nouvelle la tête entre ses mains rigolant encore des étoiles dans les yeux, elle imaginait tellement de chose à cette instant.

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