Quand le chien arrive a sa destination et rencontre son nouveau maître. [Faust]

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Mitsu était au casino en Russie, puis d'un coup les Ilaïev apparaissent et lancent des grenades. Tout explose, tout le monde bouge dans tout les sens, la peur l'envahit, ne comprenant pas se qui se passe, entendant des cris, de l'agitation. Au milieu de tout ça, Alec vient le prendre dans ses bras "faut pas rester là !" S'accrochant a lui, une balle perdu vient se planter dans le coeur se de son ami dans le dos. Se dernier tombe a terre, ne respirant plus. Le coeur gros, il resta a ses côtés, pleurant sous son bandeau en cuir.

Il voulait se séparer de lui pour le protéger, mais pas de cette manière. La police arrive, arrêtant les escortes, les clans. Ils viennent l'arracher au cadavre de son ami, criant et tendant les bras. Son esprit était détruit par tout ce massacre, il n'a même aucune nouvelle de son maître. Anton. Où se trouvait cet homme effroyable qui l'a transformé ainsi ? Il se retrouva en prison, normalement condamné pour dix ans de prostitution. Seulement, vivant vraiment comme un chien, ne se mettant jamais debout, le directeur ne voulait pas le garder, pour lui, c'était un fou a expulser en vitesse.

Rapidement, il fut menotter et amener a une camionnette de police. Il se coucha sur ne banquette, sa peluche dans sa bouche. Pour le jeune homme, l'enfer continue sa route. Arrivé a l'aéroport, il embarqua pour l’Angleterre avec deux policiers.

Le voyage fut long et épuisant. Il n'a pas l'habitude de voyager autant et surtout en étant aveugle. Mais tout ce passa très bien quand même. En arrivant et descendant de l'engin, des policier du pays attendaient. "Nous prenons la relève" Les autres policier acquiescèrent et laissèrent le garçon entre leur mains, disant qu'il était facile et ne causait aucun soucis. Marchant a quatre patte, sa peluche dans la bouche, il suivait les hommes de lois. Montant dans la voiture de patrouille, il se coucha a l'arrière, attendant avec patience.

Lorsque la voiture s'immobilise, il en descendit et suivit un des deux policier, la peluche en bouche. Se dernier tapa a la grande porte qui s'ouvrit et le laissait entrer. Tout en collant la jambe de l'homme, il se demandait où il était et dans quel but ? Mais les questions, la parole, les pleures, tout cela lui était interdit depuis très longtemps. Lorsque les pas cessèrent, l'homme toqua a une porte. Le japonais se coucha aux pied, attendant que l'homme se met a bouger.

Aujourd'hui, Faust était en joie. Il allait accueillir un nouveau patient. Un nouveau petit pantin. Il sorti le dossier du garçon du tiroir et le posa sur son bureau pour le feuilleter. Hmm... Un jeune homme vendu à un mafieux, réduit en esclavage tel un chien. Que cela semblait amusant. Faust se dit qu'il allait vraiment apprécier ce petit nouveau. Un chien... Son chien... Rien qu'à lui. Son esprit était traversé de coups tordu qu'il pourrait lui faire faire. Il pourrait l'utiliser pour terroriser les autres patients.

On finit un peu plus tard par toquer à la porte. Il ordonna d'entrer. Un homme en uniforme de la Police de Scotland Yard entra. Tenant en laisse un.. Garçon? Oui, un garçon. Il marchait à quatre pattes, vêtu de vêtements de cuir. L'homme l'arrêta en face du bureau puis sorti du bureau en lançant un "au revoir" au chien. Faust s'avança sur sa chaise et se pencha en avant pour regarder le garçon assit au sol. Mistu Omura... Un simple chien...

- Bonjour Mon Petit Mitsu, alors? Tu es le nouveau patient de mon Institut? Je suis Faust Lucyferus... Ton nouveau Maître.

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Mitsu était couché au pied du policier. Lorsque la porte s'ouvrit, en entendant, il se redressa pour se mettre a quatre pattes. L'illusion d'un vrai chien était parfait. Il s'avança lorsque l'homme en fit de même et se stoppa lorsqu'il sentit qu'il s'arrêtait. Il tourna la tête vers le policier qui s'en alla. Posa son fessier au sol, il écouta la présentation de son nouveau maître.

Sera t'il plus cruel qu'Anton ? Ou plus gentil ? Gardant la peluche dans la bouche, il acquiesça a la demande. Il n'avait pas entendut l'ordre de parler et ne parlera donc pas. La tête diriger aveuglément vers la voix, il attendit plus d'information, savoir ce qu'il allait devenir dans cet endroit dont il ne connaissait rien. Le jeune homme avait perdu tout ses repaire et c'était donc un nouveau monde qui s'ouvrait a lui.

il espérait ne pas a avoir a être cruel, il déteste la violence, mais si l'homme lui ordonne, il n'aura pas d'autre choix que d'obéir. S'il sert encore uniquement pour le sexe, il sait comment faire, et ne se sentira pas dépayser.

Il continua à observer le garçon-chien.. Son Garçon-chien.. Il avait lu dans son dossier qu'il fallait dire que c'était un ordre, quand on voulait qu'il réponde. Alala.. Il allait encore devoir tout faire.. Il n'aimait pas cela. En fin de compte, il ne devrait pas être un jouer aussi amusant qu'il le pensait. Il commençait déjà à faire sa mou.. Il était déçu. Oui, Faust ne prenait rarement le temps de réfléchir sur les gens. Bref. Il se leva. Et arriva pour faire le tour du garçon, tel un vautour. Il l'observait. Il était habillé de cuir. Ses yeux recouvert d'un bandeau. Et son torse percé d'anneaux. Il sourit sadiquement.

- Ne bouge pas, c'est un ordre..

Il lui défit le bandeau de cuir, pour voir ses yeux. Puis il se redressa, s'adossant à son bureau. Finissant par lui arracher violemment le lapin en peluche de sa bouche.

- Quand je parle à un nouveau patient.. J'aimerais qu'il me réponde, comprit? C'est un ordre. As-tu des questions? N'hésite pas à les poser maintenant. Tu ne seras pas puni si tu en pose. Mais je n'y répondrais que maintenant. Tu as bien sur le droit de parler.

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Mitsu restait assit sagement a sa place au milieu de la pièce. Il entendit les pas de l'homme venir a lui et sous l'ordre ne bougea pas d'un pouce, gardant la respiration calme et normal. L'air serein, avec la peluche en bouche, son ouïe étudiait chacun des mouvements de l'homme. Il pu alors savoir qu'il lui tournait autour, tel un vautour autour d'un cadavre. Le chien ne savait pas s'il devait s'en méfier ou pas, mais même si c'était le cas, il lui devait fidélité, tel un vrai chien.

Il fut surpris de sentir le bandeau être retirer de ses yeux qui restèrent clos. Des punitions passer lui revint en mémoire. Ne voulant pas revivre ça, l'asiatique préféra ne pas ouvrir les paupières. Ses yeux étaient en forme d'amande, se qui laisserai penser a de beaux yeux asiatique. La peur au ventre de se faire engueuler pour ouvrir les yeux était grande, a moins que l'homme ne lui en donne l'ordre.

Il pu sentir soudainement une pression sur sa peluche qui lui fit retirer de sa bouche. Ne voulant pas perdre des dents, sa prise fut relaché. Ecoutant l'homme, un peu grognons de ne plus avoir sa peluche, il lui répondit tout de même.

_Vous auriez pu me poser la question sans m'arracher la peluche, je l'aurai poser au sol. Les seuls questions qui lui vinrent a l'esprit traversa sa bouche. Où suis-je ? Qu'allez vous faire de moi ?

Il reprit le silence et resta assit a sa place, les yeux clos et la tête bien droite. Il eu un peu marre de rester dans cette position, mais ne bougea pas d'un pouce.

Faust se redressa, et vint s'asseoir sur un des fauteuil près du garçon. Celui-ci semblait grognon. Il payera pour cet mauvaise humeur. Et je crois d'ailleurs que Faust avait une punition déjà en tête. Il n'était vraiment pas content, et le garçon finira bien par le supplier de lui pardonner à un moment ou à un autre. Huhu.. Il reprit la peluche lapin qu'il avait jeter à terre après le lui avoir arraché. Et la posa sur son bureau. Souriant sadiquement, il s'approcha de l'oreille gauche du chien, et lui murmura calmement, d'un ton manipulateur:

- Est-ce une façon de parler à ton nouveau Maître?

Il se redressa enfin. Souriant toujours. Il prit son paquet de cigarette, des Blackstones, en sorti une du paquet et l'alluma, commençant à la fumer. Une odeur de tabac et de cerise se répandait doucement dans le bureau.

- Ce que je vais faire de toi? Et bien simplement te soigner. Héhé.. Pour que tu redevienne normal.. Hmm.. Non.. Autant te dire la vérité. Je vais te faire vivre l'Enfer chaque jour, pour te rendre encore plus fou que tu ne l'ai déjà.. Pour que tu devienne une gentille poupée-chien obéissante. Car tu as bien des défauts.. Exemple... La poupée que je désire devra avoir les yeux ouverts... Pour tes percings.. Ont verra.. Mais si tu n'obéis pas.. Je peux aussi faire du mal à ta pauvre peluche.. Tu ne voudrais pas lui infliger cela, n'est-ce pas?..

Il prit la peluche, et alluma son briquet, laissant le bruit du briquet arrivé aux oreilles du chien.

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Mitsu ne pouvait que bien se souvenir de tout ce qu'il a subit en deux ans, beaucoup de flash back traversèrent son esprit. Ses pieds brûler a cause de Damien, les lanières et chaines qui lacérèrent ses poignets jusqu’à les faire saigner, violé, drogué, surtout pendant plusieurs jours d'affilé où il était attacher, sans pouvoir bouger, boire ou dormir.

Le japonais écouta son nouveau maître, qui a dit qu'il était de mauvais poils ? Mitsu ne l'ai jamais, il répond simplement, un peu comme un robot, sa voix a pu fausser et faire croire qu'il était de mauvais humeur, mais ce n'est pas le cas. La peur n'était plus aussi présente qu'a ses débuts, connaîtra t'il pire qu'Anton et Damien ? Il esquissa un fin sourire en écoutant la voix murmurer a son oreille.

_Je ne suis pas de mauvais poil ... Je disais cela simplement.

Oui c'était le cas, car le jeune homme s'énervait très rarement, il est quelqu'un de sensible et toujours en train de penser aux autres, surtout a leur souffrance. Le chien humain s'inquiétait toujours de la santé mental de ceux qui étaient gentil avec sa personne. Il s'était fait beaucoup d'ami au casino, Marius, Alec, Len, Geori, Dima, Akemi et bien d'autres encore. Ce que c'est personnes peuvent lui manquer ... Il ne l'aurai jamais crus avoir tans besoin d'eux près de lui, jamais plus il ne pourra leur parler. Il le fais mentalement la nuit venu.

Un odeur de tabac vient troubler son esprit et ses pensées. Il ne l'avait jamais sentit auparavant, bien qu'Anton fumait beaucoup. Néanmoins cela lui rappela des souvenirs, pas très fameux d'ailleurs. Les brûlures de cigarette ... Ecoutant a nouveau le directeur, il se doutait bien qu'il n'était pas quelqu'un qui voudrai l'aider, mais plutôt l'enfoncer ... Mitsu gardait toujours les yeux fermé, il avait peur de devenir aveugle a cause de la soudaine luminosité et surtout de se faire punir, comme a chaque fois qu'il désobéissait. Devenir aveugle ne le dérangerais pas vraiment d'ailleurs, il a l'habitude de vivre dans le noir, il sait comment se diriger et son odorat et l'ouïe s'était super bien développé.

Il pu même entendre le clic du briquet, écoutant la menace de son interlocuteur. Brûler le lapin ? Il peut ... Ce n'est qu'une peluche qui rappelle qu'il n'a plus d'humanité. Cependant en un sens, c'est le seul objet auquel il tiens vraiment, c'est le seul qu'il peut serrer dans ses bras et parler sans être jugé. Un compagnon muet en quelque sorte.

_Je connais déjà l'enfer, j'y été ... Quand a ouvrir les yeux, je ne tiens pas a devenir aveugle et a perdre la couleur de mes yeux, ma vue a du baisser depuis plus de deux ans dans le noir. Quand aux piercing, si vous voulez m'arracher la peau a m'en faire saigner, allez y, les cicatrices seront superbes ...S'il vous plait, ne lui faites pas de mal ...

Il n'avait pas tort, car après tout, ça a été percer et mis directement, la peau s'est vraiment refermé sur les anneaux. Pour les ôter, faudrait forcer et surtout couper le métal qui était fermé sous la peau. Pas d'autre moyens de les enlever autrement.

Commençant a avoir mal au dos en restant assit comme un chien, le jeune homme se coucha sur le ventre, mettant ses cuisses sous son torse, et les bras de part et d'autre de son corps, la tête levé, ressemblant réellement a un chien humain. Il espérait que l'homme lui laisserai la peluche, sinon tans pis, il parlera tout seul la nuit.

» La bete arrive...
» Faust Lucyferus
» Absence Faust et Yggy
» Mitsu le patient "chien humain" (fini)
» Entretien avec le directeur.[Faust]